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W-CDMA (Wideband Code-Division Multiple Access)
Norme d’accès multiple à étalement de spectre qui est utilisée en radiotéléphonie de troisième génération (normes de l’UIT et du 3GPP). Ce procédé permet de transférer les données multimédias à des débits compris entre 384 kbit/s et 2 Mbit/s. Il permet l’accès en UTRA en mode FDD sur des canaux de 5 MHz en mode duplex. Il combine les modes circuit et paquets. Egalement connu sous le nom de CDMA/DS (direct sequence).
W3C (World Wide Web Consortium)
Organisme créé pour en 1994 pour la promotion de la Toile. Le W3C rédige des normes (RDF, XML, etc.), grâce à la participation des organisations membres (400 organisations) et d’une équipe à plein temps.. Il est géré et piloté conjointement par le Laboratoire d’Informatique et d’Intelligence Artificielle du MIT (MIT CSAIL) aux Etats-Unis, le Groupement Européen de Recherche en Informatique et en Mathématiques (ERCIM) basé en France et l’Université de Keio au Japon.
WAF (Wife Acceptance Factor)
Facteur d’acceptation commerciale d’un produit conçu pour la clientèle féminine.
WAN (Wide Area Network)
Interconnexion de systèmes situés dans une large zone géographique permettant un grand partage de ressources. (voir DT N°01 et N°16)
Réseau de grande étendue (WAN) ou réseau de transport
WAP (Wireless Application Protocol)
L’extension du débit des techniques de téléphonie mobile conduit à proposer des services de messagerie plus rapides ou plus étendus que le simple service SMS. Le protocole WAP est applicable aux réseaux GSM et aux nouveaux réseaux GPRS. WAP1.2 a inclus un mécanisme pour le cryptage des communications et pour l’autorisation des transactions reposant sur la signature numérique. WIM (WAP Identity Module) sécurise le parcours radio (Wireless Transport Layer) entre passerelle WAP et le terminal, et gère la sécurité de l’application par la signature numérique. La nouvelle norme WAP 2.1 définit un profil d’abonné (User Agent Profile) qui permet l’affichage des contenus au format du terminal utilisé. La simplification de l’affichage des pages HTML des serveurs Internet est en cours de définition sous le nom de XML (Extended Mark-up Langage). Les transactions commerciales nécessitent l’emploi de protocoles de sécurité le long du parcours utilisé par les communications. La sécurité est apportée par la carte SIM du terminal mobile (Subscriber Identity Module) ou par un système d’exploitation disposant d’une plate-forme spécialisée. WLTS (Wireless Transport Security) assure la sécurité jusqu’à la porte WAP et SSL (Secure Socket Layer) entre la porte WAP et le serveur de la Toile.
Réseau de grande étendue (WAN) ou réseau de transport
Watermarking (marquage invisible)
Tatouage numérique ou technique permettant d’ajouter des informations de vérification à un fichier numérique, signal audio, signal vidéo, image ou document numérique. Voir Stéganographie.
Wave to text
Système de dictée à reconnaissance vocale de la parole qui est associé avec un convertisseur de texte d’une langue spécifique fonctionnant en temps réel.
WDM (Wavelength Division Multiplexing)
Multiplexage par division de longueur d’onde qui permet un usage uni ou bidirectionnel des flux optiques dans les sens montants et descendants. (voir DT N°13)
Répartition des flux numériques sur fibre optique en WDM
Web (Toile, tissu, réseau)
Le réseau Internet. La Toile.
Web 2.0
Ensemble des développements qui ont trait aux applications fondées sur la combinaison des différents types de données disséminées sur la Toile. Inventé par l’éditeur et consultant informatique O’Reilly en 2004, l’expression « Web 2.0 » concerne des applications Internet qui fonctionnent sans nécessiter la mise en place de logiciels particuliers à charger sur son ordinateur. La seconde caractéristique concerne les sites Web2.0 de la Toile qui sont passés du statut de fournisseurs de contenu statique à celui de fournisseurs de plateforme, le contenu étant généré par les utilisateurs. Ces plateformes permettent aux utilisateurs de publier du contenu (des blocs notes, des articles, etc.), de collaborer à la rédaction de documentations (des wikis), ou encore de s’intégrer dans une structure sociale reflétant souvent les organisations de la vie courante (réseaux professionnels). Plus le nombre d’utilisateurs de l’application augmente, plus le service rendu s’enrichit du fait de la masse critique atteinte. Ainsi, Google (pour la recherche), Wikipédia (pour l’encyclopédie en ligne), MySpace (pour les thèmes propres à la jeunesse), Flickr (pour les photographies), YouTube (pour la musique et la vidéo), Blogger.com (pour les blocs notes), les RSS, etc. profitent des ressources personnelles et de l’intelligence collective présente sur la Toile, l’intérêt des internautes étant réciproque. Bien que ces sites répondant aux critères du « Web 2.0 » soient riches en contenu, ils ne nécessitent que peu de charges en personnel et les recettes proviennent de millièmes d’euros de la publicité diffusée à leurs millions de visiteurs. Le concept d’identité est important. Les informations circulent sur le mode du « bouche à oreilles » et sont donc moins contrôlables. La diffusion numérique rend cette technologie assez populaire.
L’effet d’entraînement apporte d’autres recettes liées à des services particuliers. Le Web 2.0 présente deux caractéristiques importantes. D’abord, pour la première fois avec l’internet, les contenus sont essentiellement constitués en multimédia (photos de Flickr ou vidéos de Dailymotion, le contenu textuel étant minoritaire). Ensuite, le Web 2.0 est organisé selon une méthode de classement appelée "folksonomy". Les recherches et arborescences reposent sur des critères non spécifiés à l’avance et manipulés par les utilisateurs, les fameuses étiquettes, ou "tags". Le Web 2.0 utilise le protocole HTML, un code informatique qui relie ensemble des éléments graphiques, des images et du texte, ceux-ci pouvant être recherché par un moteur de recherche ou un logiciel de butinage.
Web 3.0 (ou Web sémantique)
Partie enrichie de la Toile, dans laquelle la recherche de l’information peut être facilitée grâce à une indexation automatisée et structurée du contenu et des liens. Le Web3.0 (ou Web sémantique) permet de demander à des ordinateurs d’interagir entre eux, de vérifier si l’information est crédible et ensuite de traduire cette information vers les utilisateurs. Dans le Web3.0, le protocole RDF (Resource Description Framework) décrit de quelles données il s’agit, le WOL (Web Ontology Language) indique le contexte dans lequel celles-ci sont utilisées. Enfin, SPARQL est le langage de dialogue utilisé pour interroger les sources de données, stockées dans les données RDF ou lues à travers le logiciel de médiation. Les astuces du Web sémantique sont invisibles à nos yeux et ce sont les agents logiciels qui les manipulent et les assemblent entre les ordinateurs. Le Web sémantique est en mesure, par exemple, d’identifier les données médicales relatives à l’âge, au poids et aux maladies, même si l’information est disséminée dans une centaine de milliards de pages et il peut alors répondre aux problèmes de santé en fonction du contexte.
Web Chat
Conversation sur la Toile.
Web Clipping
Extraits de la Toile. La quintessence de l’information extraite de la Toile, sans les images, moins coûteuse et plus rapide, de façon à épargner les batteries du terminal portable.
Web sémantique
Le Web sémantique vise à améliorer la qualité et la disponibilité des données sur la Toile, afin de dynamiser leur intégration et d’optimiser la diversité des applications à même d’amorcer la modélisation des données. Le Web sémantique est défini par un ensemble de normes qui cherchent à répondre aux besoins de formalité de certaines applications, telles que la gestion des relevés bancaires ou la combinaison des volumes de données médicales. Le Web 2.0 se concentre sur des applications, alors que le Web sémantique relève du domaine des normes.
Web-log
Un Web-Log est un "journal de bord sur le Web", le diminutif francophone étant Carneticiel, CarnetWeb, ou Joueb, etc. La définition officielle est la suivante "L’Office de la langue française définit le "blogue" comme une page Web évolutive et non conformiste présentant des informations de toutes sortes, généralement sous forme de courts messages mis à jour régulièrement, et dont le contenu et la forme, très libres, restent à l’entière discrétion des auteurs."
Les "Blogs" sont des petites publications en mode texte diffusées sur Internet qui utilisent les logiciels disponibles (HTML, ou logiciel libre adapté) pour diffuser, souvent de façon lapidaire, des propos personnels ou pour animer des groupes de travail informels en ligne. Ils donnent naissance à une nouvelle forme de communication qui renouvelle à la fois les Salons en ligne et le journalisme. Ils ajoutent les liens des sites récurrents aux thèmes de discussion et fournissent les références des moteurs de recherches spécialisés.
Diffusion sélective sur la Toile. Diffusion de contenus audio et/ou vidéo en flux continu ou en téléchargement. La webdiffusion fait partie des outils de la communication audiovisuelle.
Webinar (association des termes anglais "Web" et "Seminar")
Séminaire en ligne diffusé sur la Toile à un nombre limité de participants ayant réservé au préalable. Conférence de presse en ligne où le rôle principal est tenu par l’intervenant. Le Webinar est organisé à l’intention d’un public international assez large. Il est annoncé au préalable et quelques participants ont la possibilité de poser des questions à l’intervenant au cours de son déroulement. Le Webinar utilise la technique de la diffusion sonore et d’images animées en flux continu (streaming media) à un débit moyen (de l’ordre de 500 kbit/s).
Webzine (contraction des termes "web" et "magazine")
Transposition sur Internet d’un magazine ou d’un périodique réalisé par des professionnels ou des bénévoles, sans édition imprimée commercialisée. Le webzine peut-être interactif lorsque le site ouvre un accès réservé à ses abonnés pour l’ajout de commentaires dans un bloc note (ou blogue). Le Webzine se concentre sur une thématique et il peut être associé à une lettre électronique périodique signalant le contenu des mises à jour. Le principe du Webzine permet à des entreprises ou des entités administratives de se rapprocher de leur clientèle et de leur fournir les actualités ciblées dont celle-ci peut avoir besoin. En France, le premier Webzine aurait été "Cybersphère", né en 1995, dont la durée fut éphémère.
WEP (Wired Equivalent Privacy)
Protocole de chiffrement des données transmises par radio sur les réseaux 802.11 qui n’apporte pas le degré de sécurité souhaité.
WFM (Work Force Managment)
Gestion du personnel.
WGS (World Geodesic System)
Système géodésique mondial, associé au GPS. Le WGS constitue une référence pour la cartographie.
Wi-Fi (Wireless Fidelity)
Réseau local de type radioélectrique IEEE802.11 commercialisé et référencé par l’Alliance Wi-Fi. Stricto sensu, Wi-Fi est donc un sous ensemble de la norme IEEE802.11 qui a été ratifiée par l’Association IEEE et ses groupes de travail (auxquels Wi-Fi Alliance n’appartient pas). Dans la bande des 2,4 GHz, la technique normalisée sous la référence IEEE802.11b, permet de transmettre des données à 11 Mbit/s à faible puissance sur des courtes distances (soit 6 Mbit/s en réel). La sécurité est assurée par une carte SIM spécifique à cette norme qui permet une large mobilité sur le plan de l’authentification, et, en conséquence, la possibilité de télépaiements. Des bornes de connexion en IEEE802.11b à 2,5 et 5 GHz ("Hot Spots") sont disponibles dans les lieux publics en France et également en Europe depuis la fin de 2002. Les autorités locales de plusieurs villes des Etats-Unis et d’Europe ont décidé de financer la mise en place de plusieurs points de raccordement sur leur territoire afin de répondre à la demande économique que le système peut susciter. La norme pourrait être étendue au trafic vocal temps réel (IEEE802.11e). Elle devrait être aussi complétée par des dispositifs de sécurisation d’accès.
Wi-Fi Alliance
La Wi-Fi Alliance, distincte de l’IEEE, s’intéresse à une partie des équipements radio de l’IEEE et en vérifie, par des tests spécifiques, la conformité aux normes (voir DT N°07).
Widget
contraction de "Windows gadget"
Un widget est un élément graphique d’interface sur l’écran (bouton, barre de menu, etc.) qui permet, grâce à un logiciel, d’afficher des informations ciblées.
Wiki
Terme d’origine hawaïenne qui désigne un mode d’autogestion du contenu des sites de la Toile, c’est-à-dire modifiable par les visiteurs.
WiMAX (Worldwide Interoperability for Microwave Access)
Système radioélectrique utilisable pour le réseau d’accès à haut débit en position fixe ou mobile. La technologie WiMAX repose sur les normes rédigées par l’IEEE (Institute of Electrical and Electronic Engineers, Inc.) 802.16e pour les applications fixes et mobiles. Elle utilise des bandes de fréquences situées dans la gamme des 2,5GHz, 3,5GHz et 2,3GHz. Son débit peut atteindre 70 Mbit/s théorique avec une portée de 5 km en zone urbaine et de 45 km en campagne. WiMAX devrait permettre la mobilité, la portabilité, les services vocaux et l’usage des hauts débits, en concurrence avec l’ADSL et le câble. Le Forum WiMAX gère les procédures de certification et assure l’interfonctionnement des équipements de réseau. La norme IEEE802.16.e s’applique aux terminaux mobiles (voir DT N°07).
Système de détection des écoutes passives sur les réseaux locaux de type radioélectrique.
WISDOM
Le projet Wisdom ("Wireless Information Services for Deaf People On the Move") est un projet européen qui s’intéresse à des terminaux mobiles de vidéophonie pour la lecture sur les lèvres à l’intention des malentendants et qui est coordonné par l’institut des sourds de l’Université de Bristol (CDS).
www.mobilewisdom.org
WISP (Wireless Internet Service Provider)
Fournisseur d’applications de la Toile délivrée par un système radioélectrique.
WLAN (Wireless Local Area Network)
Réseau radioélectrique local établi sur le domaine privé dans les fréquences comprises, par exemple, entre 2,4 et 5 GHz.
WMM (Wi-Fi Multimedia)
Application multimédia utilisée sur réseau radioélectrique à 100 Mbit/s répondant au projet de norme IEEE 802.11n.
WRC (World Radiocommunication Conference)
Voir "CMR" (Conférence mondiale des Radiocommunications).
WS (Web Services ou WS)
Services de la Toile (à distinguer des applications de la Toile).
Salon INTERNET WORLD , Du 24 au 26 Avril 2012 à Londres, INTERNET WORLD : l’évènement ... [suite] Séminaire IPv6, Le 11 Avril 2012, à Telecom ParisTech., Le G6 organise un séminaire ... [suite]