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m-commerce
Commerce en mobilité. Achats en ligne avec un terminal de téléphonie mobile ou à l’aide d’un petit ordinateur portable sur des connexions sécurisées.
MAC (Medium Access Control)
Sous couche de la couche liaison de données (couche 2) du modèle OSI.
Machine virtuelle
Interpréteur par logiciel qui convertit du langage de haut niveau en code machine.
Machine virtuelle Java (Java Virtual Machine)
Logiciel chargé d’exécuter le code Java ligne par ligne, en liaison avec l’environnement d’exécution (système d’exploitation temps réel).
MAN (Metropolitan Area Network)
Partie urbaine du réseau de transport WAN (voir DT N°01 et 16).
Place du MAN dans les réseaux
MANET (Mobile Ad hoc NETworks)
Réseaux qui s’organisent eux mêmes à l’aide de technologies ou de protocoles P2P (poste-à-poste) à partir de pôles ou stations émettrices réceptrices qui peuvent communiquer entre elles et qui sont autonomes. Chaque station peut être considérée comme un serveur et un routeur qui, dans certains cas est capable de se déplacer. L’acheminement des paquets entre ces stations obéit au principe des sauts multiples (multihoping). La topologie du réseau est donc dynamique, du fait de l’existence de nœuds mobiles.
MAPI (Mail Application Programming Interface)
Norme propriétaire de programmation d’application de courrier électronique (lancée par Microsoft).
Mashup
Application de la Toile liée au Web2.0 qui combine des sources d’informations hétérogènes pour la présentation d’un seul document. Exemple : « Google Maps ».
Média (de médium : milieu, support)
Moyen de diffusion d’informations et de communication (la presse, l’édition, la radiodiffusion, la télévision, le cinéma, l’Internet). Les technologies numériques liées à ces activités (les TIC) sont naturellement liées au développement du "multimédia". Support de communication audio phonique (sonore, par exemple), vidéographique ou de données (par exemple, alphanumériques).
Mémoire électronique permanente (par opposition aux mémoires volatiles de type RAM) qui a la possibilité d’être réinscriptible, par application d’une tension électrique supérieure à la tension d’utilisation. Elle peut stocker des données pendant 10 à 40 ans et qui peut subir 100 000 à 300 000 cycles d’effaçage et de réécriture des données. Les EEPROM de type FLASH ont des performances élevées (vitesse de lecture/écriture et de cycles de réutilisation) et sont comparables à des petits disques durs.
Mémoire Flash
Type de mémoire EEPROM, non volatile et réinscriptible. C’est une mémoire possédant les caractéristiques d’une mémoire vive, mais dont les données ne disparaissent pas lors d’une mise hors tension. Elle permet la modification rapide de plusieurs espaces mémoires en une seule opération. Sa vitesse élevée, sa durée de vie et sa faible consommation (nulle au repos) sont appréciées pour les appareils photo numériques, les téléphones cellulaires, les imprimantes, les assistants personnels (PDA), les ordinateurs portables ou dispositifs de lecture, baladeurs MP3, clef USB. L’absence d’éléments mécaniques lui confère une grande résistance aux chocs. Une mémoire Flash peut supporter jusqu’à 100 000 écritures et effacements pendant dix ans, selon la qualité de l’oxyde utilisé. La technologie flash comprend deux formes : les Flash NOR et NAND, d’après le type de porte logique utilisée pour chaque cellule de stockage.
Mémoire Flash NAND
La Flash NAND, créée par Toshiba en 1989, est plus rapide à l’effacement et à l’écriture, très économe en énergie, et offre une plus grande densité et un coût relatif moins important par bit. Mais son interface d’entrée / sortie n’autorise que l’accès séquentiel aux données et le stockage total des données n’est pas garanti que sous réserve d’un taux d’erreurs inférieur à une limite donnée, ce qui nécessite la mise en place d’un système de gestion des erreurs (ECC - Error Code Correction, etc.) comme pour les disques durs, par exemple. La vitesse effective de lecture est limitée. La NAND est donc utilisée pour le stockage d’informations en mémoire de masse externe (clés USB, appareils photo numériques, etc.). Encore trop coûteuse actuellement, la mémoire Flash NAND (complétée par une mémoire DRAM à bon marché) pourrait se substituer à terme (vers 2010) aux disques durs ou bien trouver sa place dans les portables ou les caméras vidéo. La mémoire NAND permettrait aux ordinateurs de démarrer instantanément, car les données n’auraient pas besoin d’être extraites du disque dur.
Mémoire Flash NOR
La Flash NOR, créée par Intel en 1988, présente des temps d’effacement et d’écriture longs, mais son interface d’adressage permet un accès aléatoire et rapide. Le stockage des données est garanti totalement par les industriels. Elle est adaptée à l’enregistrement de données informatiques destinées à être exécutées directement à partir de cette mémoire (XIP, eXecute In Place), donc, elle convient aux téléphones portables, aux décodeurs de télévision, aux cartes mères d’ordinateurs ou aux périphériques. Son coût, plus élevé que celui de la NAND, et sa densité limitée l’éliminent des utilisations liées au stockage de masse.
Mémoire FRAM (Mémoire RAM ferroélectrique)
Les mémoires FRAM sont des circuits intégrés, souvent associées à des ROM. Les FRAM sont caractérisées par la vitesse élevée d’accès et la faible consommation. La technologie FRAM est donc indiquée pour les applications de cartes à puce (billetterie de transport en commun, cartes d’identification). La technologie FRAM procure plusieurs avantages : des vitesses de lecture et d’écriture très élevées (moins de 200 ns) et un courant de veille extrêmement faible (quelques micro-ampères), permettant ainsi une moindre consommation et une rapidité d’écriture accrue par rapport à l’EEPROM. La mémoire FRAM garantit une conservation fiable des données pendant plus de dix ans.
Métadonnées (Metadata)
Description textuelle des contenus. Les métadonnées sont des données structurées de qualification associées à un contenu d’informations multimédias sonores ou relatives à des images fixes ou animées, indiquent l’origine de ces éléments artistiques (déclaration de droits numériques - DRM, propriété intellectuelle, protection, langage, droits d’adaptation, etc.). Les métadonnées qui, à l’origine avaient été conçues pour faciliter la recherche de contenu des informations à l’intention des fournisseurs d’information, sont proposées aujourd’hui à la réalisation de l’organisation structurée du trafic et de la gestion de la qualité de service. Les balises (ou tag) de XML permettent de définir le contenu et en précisent les règles d’utilisation de certaines parties.
Métamoteur
Moteur de recherche qui explore les métadonnées.
MBMS (Multimedia Broadband Multicast Service)
Service de transport de données développé pour les réseaux de téléphonie mobile de seconde et de troisième génération.
MediaFLO
Technique de transmission télévisuelle mobile défendue par Qualcomm.
Medley
(Traduction directe venant du monde musical : "Pot pourri"). Terme anglais désignant la séquence de signaux à large bande de type pseudo aléatoire qui est transmise sur la liaison, au cours de la phase d’analyse du canal de transmission, par un des équipements DSL afin d’en faire évaluer la valeur du rapport signal bruit par l’équipement similaire qui lui fait face. Les experts français, qui n’ont pas reçus de culture musicale, n’ont pas traduit ce terme anglais et utilisent l’expression "signal (ou phase) Medley".
Megaco (Media Gateway Control Protocol)
Protocole proposé par des industriels à l’IETF dans le cadre du projet Tiphon pour la commande à distance des passerelles de réseau.
Meme
Copie ou emprunt d’information culturelle (idée, théorie, phrase, vêtement, gadget, etc.) transmise de l’un à l’autre.
MEMS
Les MEMS (Micro Electro Mechanical System) sont des systèmes usinés de très petites dimensions (un à deux millimètres cubes) associés à des composants électroniques (circuits intégrés, processeurs, etc.) porteurs de logiciels fonctionnels. Ces composants peuvent avoir des fonctions de capteur ou d’actuateur par le jeu des éléments mobiles associés. Les MEMS appliquent les procédés de fabrication de micro-électronique à des systèmes miniatures complexes, incorporant capteurs, dispositifs de commande et actionneurs pour réaliser des fonctions dans plusieurs domaines (instrumentation, optique, biologie, télécommunications, etc.).
MEOMS (Micro Electro Optical Mechanical System)
L’essor de la fibre optique a suscité la naissance d’une collection de composants spécifiques. La fiabilité requise, le faible encombrement et les performances demandées désignaient tout naturellement les MEMS pour tenter de résoudre avec souplesse et économie les questions d’organisation et de gestion des flux optiques. Le marché des commutateurs a donc constitué le premier domaine d’application des MEOMS et des matrices de commutation à 64 par 64 accès ont été réalisées. Des techniques à miroir et des solutions à bulles ont été proposées. L’intégration optique s’est révélée la plus positive sur le plan technico-économique et la production de masse s’est orientée vers des réalisations monolithiques (single chip) et de composants sélectifs (AWG, Arrayed Waveguide Gratings) qui assurent de façon encore plus efficace la commutation de canaux à haut débit du flux WDM, ou la mise au point des lasers à fréquence réglable. On voit apparaître des atténuateurs variables optiques (VOA), des égaliseurs dynamiques de canal (DCE), des bloqueurs de voie, des composants ajustables, des compensateurs de filtrage et de dispersion, etc. Ces composants ont un temps de réponse très court (près de 10 microsec) et ils ont une longue durée de vie. Ils sont petits et ils sont moins coûteux que les produits qu’ils remplacent. Les MEOMS conviennent à tous les débits et tous les protocoles. La définition du réseau optique commuté (ASON) ouvre d’importantes possibilités dans la mise au point de matrices de commutation.
Service de transmission de messages en temps presque réel à tous les correspondants connectés qui peuvent répondre à tour de rôle de façon interactive.
Messagerie instantanée en mode texte (voir clavardage) -
Messagerie vocale en temps réel à tous les correspondants connectés (Push To Talk).
Messagerie unifiée (UM, unified messaging)
Les plateformes de messagerie unifiée fournissent une interface utilisateur (GUI) ou une interface téléphonique d’utilisateur (TUI, Telephony User Interface) lesquelles permettent l’accès aux messages vocaux, aux courriels et aux télécopies. Il suffit de cliquer sur l’interface graphique pour accéder aux messages. Il est possible quelquefois de convertir un message textuel afin de leur rendre audible au téléphone. Toutes ces applications appartiennent à la famille des applications en temps non réel.
Metropolitan Ethernet
Réseau (ou liaison) en protocole Ethernet établi sur un réseau métropolitain (MAN), sur une distance maximum de 200 à 300 km.
MHP (Multimedia Home Platform)
Ensemble de normes européennes créées par le groupe DVB pour la gestion des plateformes de distribution télévisuelle de normes différentes (OpenTV, MHEG, etc.). L’ETSI a repris ces normes pour ajouter des fonctionnalités (diffusion télévisuelle améliorée, interactive, navigation sur la Toile, etc.).
Microformat
Ensemble de formats de données ouverts de la Toile reposant sur des normes existantes, telles que HTML, CSS et XML.
Microlentilles liquides (vLens)
Les microlentilles liquides à focale variable (vLens), à l’inverse des objectifs et lentilles traditionnels qui sont composés d’éléments mécaniques, utilisent deux liquides non miscibles, placés entre deux fenêtres transparentes. La forme des gouttes varie sous l’action d’une tension électrique, les rendant plus ou moins concaves ou convexes. Les coûts de production des vLens sont ainsi considérablement inférieurs à ceux des lentilles traditionnelles. De plus, en comparaison, les vLens s’avèrent plus robustes, plus rapides et moins consommatrices d’énergie. Cette technologie ouvre la voie à une nouvelle génération de produits intégrant des autofocus et des zooms miniatures qui touche au domaine de la phototéléphonie (appareils photos et caméras miniatures, webcam), au domaine médical (endoscopes), ou à celui de l’automobile.
Microthreading
Technologie qui permet de multiplier par quatre les performances des mémoires Dram dans les applications graphiques 3 D, l’imagerie vidéo et les opérations de routage et de commutation dans les réseaux. Cette technologie permet d’augmenter l’efficacité du système mémoire en fournissant plus de débits disponibles aux requêtes des contrôleurs mémoire. La consommation d’énergie et le potentiel de débits sont mieux utilisés par l’envoi de petits paquets d’information et l’usage d’adresses séparées au sein de la matrice mémoire. Traduction proposée : "Technologie d’adressages multiples et simultanés des ressources mémoires".
MIMO (Multiple Input - Multiple Output)
Système d’émission et de réception radioélectrique en diversité utilisant un réseau d’antennes (applicable en particulier aux WLAN IEEE802.11n dont la norme est toujours en discussion entre camps opposés depuis un an). Un faisceau d’antennes est relié à un ensemble d’émetteurs-récepteurs doublé, de sorte le débit et la fiabilité des transmissions sont améliorés par la diversité d’espace et de temps affectant la transmission et la nature d’un codage utilisé dans ce montage. (voir Diversité).
MMDS (Multichannel Multimedia Distribution System)
Ce système à 2 ou 3 GHz permet la diffusion de programmes télévisuels (5 à 30 en analogique et jusqu’à 150 en numérique) jusqu’à 10 ou 60 km, selon la topologie de la région. Ce système est sensible à la pluie.
MMO (Massively Multiplayer Online)
Marché important des jeux vidéo en ligne de type multi-joueurs. Jeux vidéo communautaires en ligne.
MMS (Multimedia Messaging Service)
Service de messagerie multimédia.
Mobisode (Episode de télévision pour portable)
Séquence de diffusion télévisuelle de courte durée à destination de terminaux portables adapté au rythme de la disponibilité du public et à la capacité de la batterie des terminaux.
Mobispectateur
L’utilisateur de la télévision numérique personnelle (TMP).
Modem
Équipement qui transforme les données numériques reçues du micro-ordinateur en signaux adaptés au réseau analogique de télécommunications et réciproquement. Le modem utilise pour cette fonction une fréquence porteuse dont il module, puis démodule (d’où son nom) une ou plusieurs des caractéristiques (phase, fréquence ou amplitude). Par extension, tout équipement d’interface procurant un débit numérique (exemple, modem V.90, modem ADSL).
Modulation
Procédé qui consiste à changer une des caractéristiques d’un signal (fréquence, amplitude ou phase), de sorte que les changements effectués soient en rapport avec les signifiants de l’information à transmettre. Le signal de référence utilisé est le porteur ou la fréquence porteuse. Il est choisi en fonction de son aptitude à traverser le milieu de transmission utilisé. (voir DT N°14).
Modulation à spectre étalé (Spread Spectrum Modulation)
Deux types de SSM sont utilisés, le saut de fréquence (FH, frequency hopping) et la séquence directe (DS, direct sequence).
Montant
Qualifie le sens de la transmission partant du terminal de l’usager vers le réseau.
MOST (Media Oriented Systems Transport)
Norme propriétaire rédigée par le consortium éponyme qui définit les échanges au sein d’un réseau mis en place au sein d’une automobile. Le protocole MOST 150 version 3.0 définit l’exploitation d’un flux de données audio et vidéo et d’informations de contrôle à 150 Mbit/s avec un canal Ethernet sur fibre optique plastique. Le protocole défini antérieurement (MOST 25) est exploité à 25 Mbit/s sur plusieurs modèles de voitures.
Moteur de recherche
Un moteur de recherche est un logiciel de recherche thématique qui est basé sur des algorithmes de classification et qui utilise des infrastructures efficaces d’indexation et de stockage des informations, afin de fournir les renseignements les plus utiles en un temps le plus court possible, quelle que soit la charge du réseau. Le langage courant accepte trois définitions.
1 - Un moteur de recherche est un logiciel qui fournit des liens permettant de trouver sur la Toile des ressources d’information qui sont associées à des mots ou à des noms (ou aussi à des vidéos, des images, des musiques, etc.).
2 - Les sites Internet qui offrent la facilité de recherche disposent de leur propre moteur de recherche. Par extension, le moteur de recherche désigne le site lui-même (Google, par exemple).
3 – Des logiciels spécifiques parcourent les sites à intervalles réguliers de façon automatique pour découvrir de nouvelles adresses (bots, crawlers bots, spiders, etc.).
MPEG
(Moving Picture Experts Group)
Groupe d’experts en normalisation de l’ISO et de la CEI, spécialisés dans le domaine de l’image et du son.
MPEG-1 audio couche 3
Technique de codage audio qui comprime un son stéréo en débits à 128 kbit/s ou 112 kbit/s (MP 3). La couche 1 correspond à un débit de 384 kbit/s et la couche 2 (Musicam) aux débits de 192 et 256 kbit/s.
MPEG-2
Norme de seconde génération (1994) qui définit les aspects liés à la compression de l’image télévisuelle et du son associé. Cette technique de codage de l’image animée est basée sur la DCT (Discrete Cosinus Transform). Elle donne lieu à un débit numérique constant.
MPEG-2 MP@ML (Main profil at main level)
Format principal de la vidéo en diffusion DVB.
MPEG-4
Norme de compression de l’image animée télévisuelle (ISO/CEI 14496) qui utilise la redondance entre les images, les plans, les scènes, etc. et qui ajoute l’interactivité à la diffusion. Le flux des images compressées n’est donc pas constant puisqu’il est lié au degré de l’animation des scènes diffusées. MPEG-4 est composé de modules de normes : MPEG-4 Sytems, Visual, Audio, etc. et se présente en profils relatifs aux applications concernées.
MPEG-4 AVC (MPEG-4 Part 10 Advanced Video Coding/H.264)
Norme créée par l’ISO/CEI en liaison avec l’UIT-T pour le codage de la vidéo à un débit quatre fois inférieur à celui de MPEG-2.
MPEG-4 SVC
(Scalable Video Coding)
Nouvelle version de la norme MPEG-4 dont la particularité porte sur les extensions des formats et des débits d’image en fonction des terminaux récepteurs.
MPLS (Multi-Protocol Label Switching)
MPLS est un protocole de substitution qui est chargé d’améliorer les fonctions d’acheminement du protocole IP par une signalisation interne au réseau de transport. MPLS vise à améliorer l’ingénierie de trafic, la gestion des VPN en IP et l’intégration du routage IP aux commutations de niveau 2 ou des couches optiques. MPLS agit sur des routeurs placés à la lisière du cœur de réseau et des routeurs de cœur de réseau. Il crée un parcours entre deux points du réseau. Chaque paquet étant porteur d’une étiquette (label) qui est modifiée à l’entrée de chaque section de parcours (label switching, voir aussi GMPLS et le DT N°25).
MTC ou MTM ou M2M (Machine to Machine – Machine Type Communications)
Communications établies entre équipements électroniques ou entre des équipements et un ou plusieurs serveurs. Les communications M2M utilisent les réseaux fixes ou les réseaux radioélectriques. A l’heure actuelle, un grand nombre d’applications M2M sont en service dans une vaste palette de domaines. Les M2M sont établis sur Internet et sur d’autres réseaux, ce qui constitue l’Internet des Objets ou l’Internet des choses.
Multibande
Qualifie un équipement qui est capable de fonctionner dans plusieurs bandes de fréquences.
Multicast
Envoi unique de fichiers à plusieurs destinataires identifiés. Le réseau effectue la distribution en simultanéité. Diffusion sélective ou diffusion groupée.
Multimédia
Nom masculin et adjectif. Contenant ou contenu qui concerne plusieurs supports de communication associés (parole, musique, images fixes et images animées). Toute application ou information de type numérique transmise ou diffusée mettant en jeu au moins un média spécifique. L’interactivité n’est pas obligatoirement liée aux applications multimédias.
Multimodale, multimode, monomodale, unimodale
Caractérise le mode de propagation de la lumière dans les fibres optiques. - Les expressions "fibre multimodale" et "fibre unimodale" sont employées pour l’écrit, alors que les termes "multimode et monomode" sont d’usage oral.
Multiplex
Système d’association de circuits analogiques ou de trames numériques en vue de leur transport sur le même support.
Multiplexage
La commutation permet de concentrer le trafic sur les axes disponibles en améliorant le rendement des groupes multiplexés. L’accès de plusieurs messages à un milieu commun de transmission peut être effectué par répartition de fréquences, par répartition dans le temps ou par répartition de code (voir Accès multiples). Le choix des techniques est conditionné par le volume de trafic et la demande en qualité de service. Il doit correspondre aux besoins en débit exprimés par les utilisateurs et être rentabilisé en fonction des critères économiques en vigueur.
Pour accéder simultanément à un support de transmission, les signaux d’entrée doivent être combinés et synchronisés. Pour des raisons économiques, cette opération est effectuée simultanément pour plusieurs messages se présentant au même moment à l’aide d’un multiplexeur (ou mux). Le signal d’origine est restitué en extrémité par un démultiplexeur.
Les circuits à basse vitesse (BV) sont ceux dont le débit va être ou a été concentré ou multiplexé. Le circuit à haute vitesse (HV) ou circuit composite, est le lien qui unit le couple d’équipements de multiplexage.
Multiplexeur
Équipement qui regroupe plusieurs voies à basse vitesse sur un même canal. (voir DT N° 13)
Multipoint
Liaison de type 2 ou 4 fils qui permet le raccordement de plusieurs terminaux de même nature (postes téléphoniques ou ordinateurs) sur une même ligne. (voir DT N° 2).
Multisystem Operator (MSO)
Un exploitant multi système est un exploitant de réseau d’accès qui dispose sur le même support plusieurs systèmes ou services. Par exemple, en ADSL, le service triple (triple play) offre le service téléphonique (qui peut faire l’objet d’un dégroupage), l’accès à des services de télévision sur demande et l’accès à Internet via un fournisseur d’accès étranger à l’exploitant multi système. Sur le câble, les services peuvent être plus diversifiés. Le MSO joue le rôle d’exploitant de réseau d’accès pour le compte des intervenants multiples de la chaîne de valeur créée par le câble.
Multithreading
Technologie qui utilise le parallélisme existant entre les applications et qui améliore l’efficacité du processeur par l’exécution de tâches pendant les temps morts du traitement des données. En résumé, on pourrait traduire ce mot par : "Technologie d’exécution multiple".
Mux
Appellation courante des multiplexeurs.
Mux inverse
Multiplexeur monté à l’envers. Il additionne des flux composites reçus du réseau vers l’utilisateur.
MVDS (Multichannel Video Distribution System)
Ce système radioélectrique à 40 GHz permet la diffusion de programmes vidéo dans des cellules comprises entre 0,5 et 2 km de rayon.
Salon INTERNET WORLD , Du 24 au 26 Avril 2012 à Londres, INTERNET WORLD : l’évènement ... [suite] Séminaire IPv6, Le 11 Avril 2012, à Telecom ParisTech., Le G6 organise un séminaire ... [suite]